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jeudi 23 avril 2015

2015_04_22 Pour fêter son entrée dans la quarantaine, Vincent Delbecque a parcouru 9 000 km pour vivre trois matches à Los Angeles. Le rêve américain… Du 31 mars au 7 avril, le Cominois Vincent Delbecque a réalisé l’un de ses rêves: vivre à l’intérieur d’un stade les matches de la NBA, la prestigieuse ligue de basket-ball aux États-Unis. Source Marie-France PHILIPPO du journal l'Avenir

 «Il y a longtemps que je suis les matches et les joueurs de la NBA. Tout a commencé aux Jeux Olympiques de 1992 quand, pour la première fois, les compétitions internationales ont été ouvertes aux joueurs professionnels de basket. À Barcelone, les États-Unis ont aligné une dream team et, à la voir évoluer sur le parquet espagnol, le basket mondial vivra une vraie révolution. Pour preuve, en 1992, il y avait tout au plus 20 étrangers à la NBA. Cette saison, il y en a 101 de 37 nationalités différentes! »
Vincent regarde avec passion les matches à la télévision: «J’ai été subjugué par leur façon de faire circuler le ballon, par le QI basket de ces joueurs d’exception. Depuis lors, j’ai chopé le virus de la balle orange et, via internet ou Be TV, je regarde souvent les matches. Toutefois, j’ai toujours pensé que si je voulais vraiment connaître ce sport américain, il fallait que je me rende sur place et ainsi mieux évaluer la différence entre les images de télé et la réalité.»
En octobre dernier, il se rend à son agence de voyages habituelle et tombe sur un prospectus d’une société partenaire, spécialisée dans les événements sportifs: «En dix ans, on m’a dit avoir eu trois ou quatre demandes pour la NBA. C’est donc assez rare! Je voulais passer mes 40 ans, le 3 avril, aux États-Unis et voir au moins trois matches. Ces deux critères correspondaient à la ville de Los Angeles. En plus, une star de la NBA, Kobe Bryant joue aux Lakers de Los Angeles. À 36 ans, il est en fin de carrière! Malheureusement, je ne l’ai pas vu jouer parce qu’il était blessé à l’épaule. Consolation, il était sur le banc lors du premier match.»
Il a effectué le voyage de Bruxelles à Paris en TGV, avant de prendre un direct pour Los Angeles: «Le vol a duré 10h50 à l’aller et un peu moins de 10hau retour. L’hôtel était situé à 5 km du stade, une distance effectuée à pied pour profiter de la ville. En quelques jours, j’ai découvert le fameux Sunset Boulevard, les quartiers de «Little Tokyo» et «Chinatown» ou encore l’Echo Park. Durant le séjour, il a fait constamment 28 °C.»
Cette semaine n’a fait que renforcer sa passion du basket: «Ce sont des sportifs impressionnants! Il y a 25 ans, le basketteur faisait 2,10 m et n’était pas mobile et rapide. Aujourd’hui, un joueur de 2,05 m est aussi rapide qu’un «petit» d’1,90 m. Blake Griffin (Clippers) en est la meilleure illustration.»
Il est revenu avec de belles images plein la tête, mais aussi 547 photos de sportifs et de la ville qui compte 4 000 000 d’habitants, alors que l’agglomération en dénombre 18 500 000!
Le basket-ball américain est bien plus qu’un sport! Ambiance, marketing et stars: la balle orange déchaîne les passions.-Delbecque Vincent
 Vincent Delbecque (40 ans) est employé à l’Euro Delta Center depuis quinze ans. Il a joué de nombreuses années au volley dans le club «Evoco», avant d’arrêter lorsqu’il a fallu combiner études supérieures et compétition. Source Marie-France PHILIPPO du journall’Avenir.
Il est à présent dans le staff du club.
Par contre, il n’a jamais joué au basket, sauf à l’école. «En fait, j’aime bien les sports où les actions s’enchaînent, où la victoire est indécise et où les points décisifs sont réguliers. Les 0-0 au foot m’ennuient.
En plus, la NBA constitue un véritable spectacle où le spectateur est choyé: des stars du ballon, une ambiance extraordinaire, des cheerleaders, des shoots au panier par un supporter, la participation des enfants, etc. Le match en lui-même dure 4 fois 12 minutes. Mais avec les animations avant et pendant le match, il y en a pour près de 3 
heures!»
Très heureux pour toi Vincent, tu as pu réaliser un rêve.  
Vincent garde précieusement ses trois entrées. Le coût moyen pour un ticket NBA: 122 dollars, soit 113 euros.




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