La présentation officielle s’est faite sous la houlette de
Jean-Marie Duvosquel et Francis De Simpel.
Francis De Simpel nous expliquera que les photos du livre
viennent surtout de la société d’histoire, et que bien entendu, dans les caves,
il y en avait une bonne centaine de plus.
Mais le grand souci de nos jours, ce sont « les copirailles » qui posent le plus grand
problème.
Des photos existantes depuis plus de 100 ans, sont de nos
jours beaucoup plus faciles d’accès depuis une vingtaine d’années grâce à
internet.
Pour Jean-Marie Devosquel, les découvertes iconographiques
ne feront que commencer, puisque depuis peu, ils collaborent avec la société
d’histoire de Bavière qui se trouve avoir des mines d’Or dans ses archives.
Sandrine Langohr, responsable de l’édition, renchérit en
nous expliquant que Ploegsteert a les traces les plus denses en la matière et
en histoire de la guerre en Wallonie.
Beaucoup de britanniques étaient installés dans notre région
et avec le temps beaucoup de photos et indices refont surface.
Francis De simpel nous expliquait que sur Ploegsteert et ses
20 km de front, durant la première guerre, on a répertorié plus de morts que
Verdun, la différence est mise sur le temps.
400.000 morts en 4 ans sur les champs de bataille à
Ploegsteert alors que Verdun ce sont
quelques 200.000 morts en une dizaine de mois. Après près de 100 ans les belges
vont découvrir un des théâtres d’opérations militaires de la première guerre
mondiale s’étendant de la mer du Nord à la Lys…Lieu où trois armées, belge,
française et britannique (Commonweath) ont affronté l’armée Allemande.
Un livre à surtout lire qui fait partie à coup sûr de notre
patrimoine.
À voir aussi les reproductions en argile de Michel De Witte
qui s’est inspiré des œuvres de Bruce Bairnsfather « caricaturiste en 1914-1918 sur
PLUG-STRET ».
Voir les photos sur : https://plus.google.com/photos/111331189600356736365/albums/6064534478429574945
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