C’est elle qui m’a incitée à participer au concours floral.
Je me suis dit que si elle remportait régulièrement le trophée, c’est que le
clos du Kortekeer était un terreau fertile.»
Retraitée institutrice primaire de l’Institut Saint-Henri
Comines depuis sept ans, la dame a eu le temps de développer des qualités
artistiques: «J’aime bien l’art floral. J’ai d’ailleurs suivi des cours à
l’athénée. Petit à petit, j’essaie d’améliorer la décoration. Il y a onze ans
que j’habite cette maison. Même si le jardin possède des plantes vivaces, je
complète toujours par des achats de fleurs annuelles.»
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