«Il reste Houthem. Soit nous installons une mini-station,
soit nous plaçons un collecteur pour ramener les eaux usées sur la station de
Comines. Une étude permettra de définir ce qui reviendra le moins cher.
Toutefois, il devient de plus en plus difficile de décrocher
des financements auprès de la SPGE, qui privilégie les grosses stations
d’épuration.»
Le puits où prendra place la pompe qui permettra d’envoyer
les eaux sous la Douve.
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