Bien entendu, ils ne participaient pas directement aux
combats, mais collaboraient aux activités les plus risquées, parfois très
proche du front. Comme par exemple, au déminage des zones conquises à l’ennemi,
le ramassage des soldats morts etc. Selon les rapports des recruteurs, environ
20 000 d’entre eux ont été tués ou décédés de maladie, car nombre d’entre eux
ne survécurent pas aux épidémies. Dans un cimetière civil français entretenu
par la Commonwealth War Graves Commission, reposent les corps de 842 chinois.
Après le conflit, ces hommes venus du continent asiatique, furent encore
employés à la recherche de bombes non explosées, ainsi qu’au nettoyage des
tranchées. Les rescapés de ce corps de travailleurs, ont par la suite participé
aux efforts de reconstruction de la ville d’Ypres, ainsi qu’au déblaiement des
ruines de Comines-Warneton.
Walter Vandenberghe http://waltervandenberghe.blog4ever.com/photos
Les
Chinois pendant la première guerre mondiale ; un autre devoir de mémoire.
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