Ses parents étant très chrétiens, il s’est perfectionné dans
l’étude de la religion pour parachever sont éducation religieuse au siège
épiscopal d’Arménie. Mais, durant son épiscopat, une persécution sévit avec
violence dans son pays. Pour y échapper, Chrysole a donc été obligé de
s’échapper, selon le conseil de Dieu, malgré que celui-ci lui révéla qu’il
allait subir le martyr en Gaule, il se
dirigea vers notre région. Arrivé à Rome, le Souverain Pontife lui remit des
reliques de l’Apôtre Saint-Pierre qu’il porta sur lui jusqu’à son décès
inopiné. Vers l’an 275, en compagnie de Saint-Denis, Saint Piat et d’autres, il
a fixé son lieu de résidence à Comines. Donc chez les Ménapiens, pour prêcher
la bonne parole et convertir les habitants, et les Romains, et il transforma un
temple payen en temple chrétien. A Comines, le saint parcouru la région pour
convertir les mécréants, à tel point que cela a créé la haine du gouverneur
Rictavarus qui vers 303, avec ses soldats, le capturèrent à Verlinghem, puis le
rouèrent de coups. Heureusement, des
fidèles fraichement convertis, le ramenèrent jusqu’à Comines. Enfin arrivé, il
se réfugia dans sa demeure située dans la rue du Pont. Il décida ensuite de se
rendre à l’église devant l’autel de la Très Sainte Trinité, où il rendit son
âme à Dieu. De ce fait, un très grand nombre de fidèles scellèrent leur foi de
leur sang en même temps que ce Saint Apôtre, pour subir le même sort que lui. A
constater dans le récit, qu’il n’est nullement question qu’on lui a coupé la calotte
crânienne.
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