Cameron ne ferme pas la porte: «Je prends cela comme une
motivation d’avoir eu un papa qui a évolué au plus haut niveau international,
d’avoir eu également mon oncle Jean-Luc qui a gagné de très belles courses.»
Jean-Jacques veut ajouter une précision: «Quand elle a commencé, on la prenait
pour une bête curieuse. Maintenant, on la considère pour ses qualités propres.»
Et Cameron surenchérit avec force: «Je suis contente et fière d’être la fille
de Frank!»
Une finale : Étudiante en littéraires-langues à Sainte-Marie
Mouscron, Cameron regarde au loin: «Les JO? C’est un peu tôt pour me prononcer.
Les championnats d’Europe, ce serait déjà pas mal même si je suis prête à
énormément de sacrifices pour arriver le plus haut possible.»
À Tbilissi, ses espoirs sont clairs: «Actuellement, je crois
me situer au neuvième rang européen. Mais toutes les filles sont autour des
2’10’’90. J’espère pouvoir me hisser jusqu’en finale (huit couloirs). Je sais
que j’ai encore beaucoup de choses à apprendre. Ce sera ma première expérience
internationale. Je vais d’abord découvrir un monde nouveau.»
Comme l’avait fait dans notre précédente édition Noa
Selosse, Cameron se réjouit que pour la première fois dans le cadre des EYOF un
authentique village olympique soit dédicacé aux athlètes.
Au sein de notre délégation, la Hennuyère occidentale se
réjouira d’être née ploegsteertoise et d’avoir très tôt appris à manier la
langue de Vondel. Cela lui facilitera des contacts qu’elle a déjà naturellement
très aisés.
Cameron avec «papy» Jean-Jacques, son mentor.
1 commentaire:
BONNE CHANCE A TOI CAMERON, NOËL ET MARTINE
Enregistrer un commentaire