« Je suis Liégeois, explique Alexandre. Je ne vis pas de
cette activité, mais je m'amuse bien. Certains mois, je peux faire cinq ou six
prestations, d'autres rien du tout. »
Les autres catcheurs viennent de Tubize ou Charleroi, comme
cette fille qui participait à son premier combat public. « Je suis prête
physiquement et psychologiquement. Le catch, contrairement à ce que beaucoup
pensent, exige une bonne condition physique. »
Du côté du comité de Ploegsteert, le secrétaire Tony
Vanpeteghem affichait le sourire : « La semaine dernière, nous avons eu bien du
monde à toutes les activités. Comme c'est encore le cas ce soir, avec beaucoup
de visages inconnus. La preuve que le catch possède son propre public. »
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