Et l’on sent que rien n’est laissé au hasard. «Le départ et
l’arrivée sont désormais les mêmes. Une décision qui permet de limiter le
travail puisqu’il n’y a plus qu’une arche de départ, une rangée de barrières
nadar et un seul endroit à nettoyer sur la piste d’athlétisme.»
De quoi alléger le travail des bénévoles: «Ils sont au
nombre d’une soixantaine. À chaque kilomètre, nous avons placé quatre jeteurs
de poudre, sauf au premier poste où il y en avait six car le peloton est plus
compact. Il y a aussi l’installation du site, l’encadrement sur le parcours,
etc.»
Stéphane Durnez, Maxime Ponchaux et Justine Durnez: des
organisateurs heureux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire