Sur le site internet de l’auberge de jeunesse dédiée à la
guerre 14-18, le directeur Matti Vandemaele se réjouit de la décision: «Nous ne
pouvons pas travailler quotidiennement avec des jeunes sur les thèmes de la
guerre et de la paix et ne pas regarder les malheurs qui nous entourent. Nous
voulons apporter une contribution active à l’ambition de Messines d’être la
ville de la paix.»
Toutefois, les 120 migrants devront quitter les lieux pour
le 4 février, date de reprise de la saison touristique.
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