C’est un métier où l’on est en communion avec la nature et
un milieu qui se base encore sur des valeurs positives de travail et d’amitié.
Quand on passe la semaine à Bruxelles, on se rend mieux compte de la chance que
l’on a de vivre à la campagne.»
Avec son équipe, il fait souffler un vent nouveau sur la
FJA: «Dans l’entité cominoise, il faut faire preuve d’ouverture, d’autant qu’il
y a de moins en moins d’agriculteurs. Nous sommes limités par la France et par
la Flandre, même si nous avons toujours entretenu des liens privilégiés avec
les associations agricoles voisines.
Or, si l’on veut rester dynamique, il faut
des jeunes! D’où notre volonté de s’ouvrir à d’autres milieux.»
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