Fabrice Verslype précise: «Je suis content qu’une seconde
édition de “ Plug Street ” se fasse étant donné la qualité du texte et aussi la
commémoration du centenaire de la Première guerre dans notre région. Il y a une
grande mobilisation aussi bien chez les acteurs que les figurants. En 2006,
j’étais soldat. Maintenant, je suis client chez le barbier».
André Gobeyn, lui, a repris son ancien rôle: «Je suis Bruce
Brainsfather, créateur de cartoons avec Old Bill. J’ai effacé de ma mémoire ce
que j’avais joué en 2006. Nous ne le faisons plus de la même manière car nous
avons vu pas mal de choses dans la presse ou à la télé pour les commémorations.
Notre vision a évolué par rapport à 2006. Le metteur en scène Alain Coulon est
sympa, patient et donne des conseils judicieux. Il faut venir voir ce
spectacle!»
Béa Marsac en est à sa cinquième participation à un
spectacle de mémoire collective: «L’engouement des comédiens a grandi au fur et
à mesure des répétitions.. Il y a une bonne complicité entre les comédiens, même
avec ceux qui n’avaient pas vécu la première édition. On s’amuse tous. Je suis
maintenant la tenancière du café. En 2006, je jouais dans la scène du marché.
J’ai souhaité changer pour avoir un point de vue différent». Chez le barbier… en 2006, depuis lors la barbe a dû
repousser!
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