LES PROCHAINES ATIVITES

samedi 2 mai 2015

2015_05_02 « Plug Street » revit pour le centenaire : Les vendredi 8 et samedi 9 mai, plus de 120 personnes verront faire revivre l’histoire de la région dans un spectacle de mémoire. Source Edouard Debelder du journal l’Avenir.

Depuis l’an 2000, au rythme de tous les trois ans, le Centre culturel propose des spectacles de mémoire collective. D’abord à Ploegsteert et au Bizet, avec en toile de fond la grande guerre, il y a eu «Reviens vite, je.», «8h16, le dernier train» et «Plug Street». Ensuite, c’est à deux reprises que l’après-guerre a été évoqué dans «Comines en scène». Didier Coquet, animateur au Centre Culturel, nous situe: «A l’occasion de la commémoration du centenaire de la Première guerre, les comédiens ont jugé pertinent de rejouer “ Plug Street ” qui avait fait l’unanimité en 2006. L’histoire entre un régiment anglais, venant défendre notre liberté, et les habitants du village se situait en 1915. L’engouement des habitants de l’entité ne faiblit pas. La motivation était aussi du côté anglais où les citoyens de Wolverton (ville jumelée avec Comines) souhaitaient participer au spectacle. Ils seront une dizaine à venir comme figurants et cornemuseurs. “ Plug Street ” est une superbe aventure humaine dans un vrai esprit d’une troupe de théâtre.»
Ce spectacle est complètement nouveau. Le texte de Xavier Hanotte (auteur hennuyer de romans) et Benoît Misson a été légèrement modifié compte tenu du changement de lieu. La mise en scène d’Alain Coulon (directeur du Centre des Arts de la rue situé à Ath), sera complètement différente avec des nouveaux effets: vidéos, lumières; le tout dans un espace plus restreint qui évite de longs déplacements en bus.
Des costumes de la BBC! :  Myriam Kino, animatrice pour le Centre Culturel, ajoute «Il y aura plus de 120 comédiens amateurs, musiciens, figurants dont la moitié de nouveaux. Avec certains glissements de rôle car les jeunes de 2006 ont pris de l’âge… C’est ainsi que des militaires vont devenir des civils!»
Comme le spectacle évoque des scènes de vie militaire et civile de 1915, les animateurs du Centre culturel veillent aux costumes et accessoires. «La seule solution pour créer un peloton d’une quarantaine de militaires est d’aller chercher les costumes en Angleterre chez le fournisseur officiel de la BBC, poursuit Didier Coquet. Pour les fusils, nous avons demandé à des élèves du collège Saint-Joseph de la Lys de nous créer des reproductions en bois. Pour les accessoires, ils viennent des musées de Steenwerck et de Huissignies, du comité de la Bataille du canal».




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